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La Maison du cauchemar poster

LA MAISON DU CAUCHEMAR

La casa 3

1988 IT HMDB
mai 21, 1988

Un soir, la gentille famille catholique Baker se fait décimer d'une façon très sanglante... Vingt ans plus tard, un radio amateur capte un message mystérieux sur son CB. Curieux, il traque l'origine du message et tombe sur une autre radio amateur squattant la vieille demeure des Baker abandonnée depuis le tragique événement. Problème: la radio ayant émit le message réceptionné n'est pas branchée... La maison serait-elle hantée par la petite fille Baker et sa poupée-clown?

Réalisateurs

Umberto Lenzi

Distribution

Lara Wendel, Greg Rhodes, Mary Sellers, Ron Houck, Martin Jay, Kate Silver, Donald O'Brien, Robert Champagne, Kristen Fougerousse, Willy M. Moon
Horror

CRITIQUES (1)

FM

Francesco Mirabelli

Un jeune radioamateur capte par hasard un signal, une voix criant de panique suivie d'une étrange comptine enfantine. Avec sa petite amie, il parvient à localiser l'origine de la transmission : une maison abandonnée en Nouvelle-Angleterre. Sur place, accompagné d'un groupe d'amis, le jeune radioamateur tente de percer le mystère, mais un à un, les jeunes commencent à mourir de manière étrange et atroce. Toutes les morts sont accompagnées de l'apparition d'une petite fille tenant une poupée diabolique dans ses bras... D'après le titre, on pourrait croire à une suite des films de Raimi, mais ce n'est pas le cas ; il s'agit d'un film italien (Joe D'Amato) réalisé par Umberto Lenzi. Bien que réalisé avec des moyens modestes, "La Casa 3" parvient à captiver le spectateur grâce surtout aux apparitions inquiétantes de la petite fille et de sa poupée, accompagnées d'une musique de fond sinistre sous forme de comptine enfantine. Le film contient plusieurs références à l'un des chefs-d'œuvre de Mario Bava, "Opération Peur". Un film d'horreur italien correct dont les seuls points forts sont, comme mentionné, les apparitions de la petite fille sinistre et une bande sonore indéniablement obsédante et très troublante. En définitive, il s'agit probablement du meilleur film d'horreur de Lenzi (même si, pour être honnête, le réalisateur n'a jamais signé de films mémorables), gâché par les "habituels" mauvais acteurs et un doublage assez approximatif.